26 avril 2015
Fleur et poignard
A couteaux tirés.
Quand l'orage gronde, tu brilles. En attendant je vis dans le noir.
Putain d'émotions incompréhensibles. Je frémis et pleures pour le moindre rayon de soleil dans la pupille d'un passant, les fleurs, les odeurs, un situation de vie que j'envie, tout me pince, me remue, me secoue. Et quand tu poses ton bras autour de moi, que tu embrasses mes cheveux, je ressens rien, absolument rien, pourquoi.
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